Ce recueil de chroniques sur deux années de montée des crises souligne la modernité de la pensée de Pierre Mendès-France « gouverner, c’est prévoir ». C’est précisément parce que le politique a cessé de prévoir que, d’une part, il a subi l’action de ceux qui prévoyaient et que, d’autre part, il a oublié de préparer le futur.
La relecture de ces chroniques qui peut être ou non chronologique souligne qu’il n’existe aucune fatalité aux crises mais qu’elles sont le résultat de choix délibérés. Dès lors, d’autres choix peuvent être faits pour l’avenir.
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